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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 23:46

L’ANGE DE DOEL DE TOM FASSAERT

 

Ce documentaire porte sur la destruction d’un village de Belgique. Les habitantes de ce village de DOEL refusent de quitter leurs habitations et en parlent autour de l’épluchure de crevettes ou toute autre activité culinaire!

Ces  femmes sont donc très attachées à cet endroit où elles vivent depuis des années. Le style du documentaire est intimiste : noir et blanc et sous-titres. Il ressort lors des échanges avec le réalisateur à l’issue de la séance que les dialogues sont en patois.

La longueur des passages de ce film répond à cette situation d’attente d’expulsion que vivent ces habitants. Ainsi, Tom Fassaert prend le temps de nous montrer l’environnement d’un village en partie détruit. A un moment, des musicos jouent dans une maison vouée à disparaitre et déjà inhabitée. Passage où le réalisateur apparait.

 

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18 octobre 2011 2 18 /10 /octobre /2011 10:34

Exposition Photos de Jérémy Thoraval
www.jeremythoraval.fr


 

Il expose à l'Enchanté // 2 rue Saint-Melaine à Rennes.

 

expolenchante.jpg

 

Retrouvez quelques clichés de différents concerts Rennais...

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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 01:15

Emploi ou chômage des jeunes

Quelques considérations sur la place des jeunes entre monde étudiant et monde actif :

Les chiffres du chômage ! Les restrictions budgétaires ! Pas facile pour certains de trouver un emploi.

Avec ou sans formation, les jeunes sont obligés de faire des stages. Une émission télé présentait récemment les étudiants fantômes des universités parisiennes qui s’inscrivaient dans des cursus pour avoir une convention de stage et se faire un peu d’expérience.

Les universités proposent beaucoup de cursus sans débouchés réelles. Après, certains font des bts en alternance mais encore faut-il trouver l’entreprise. Sinon, à vous de faire des stages en alternance tout en finançant jusqu’à 8 000 euros les 2 années de façon personnelle sauf si vous trouvez des moyens tels que vos allocations chômage pour financer ça ou des aides de la Région.

La CFDT des missions locales manifestait le 28 mars à l’occasion d’un forum emploi en gare de Rennes pour dénoncer les manques de moyens financiers et la baisse de contrats aidés entre autres.

Aujourd’hui, la concurrence est rude. Armez-vous de patience et surtout ne quittez pas le système scolaire sans diplôme pour retrouver des remplacements.

 

Julie R.

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30 avril 2011 6 30 /04 /avril /2011 17:04

400 choristes étaient réunis par Geneviève Goni  de l’Observatoire et Pole d’Animation des Retraités Rennais (OPAR) en présence des bénévoles et de l’équipe de l’association.

Monsieur Jouleau, président de l’OPAR a remercié le Maire et les élus pour ce pari de rassembler les chorales d’amateurs. Les plus expérimentés ont pu transmettre leur savoir.

Geneviève Goni, chef de chœur a présenté cet événement : « cap vers l’océan!» et Monsieur Delaveau, Maire de Rennes, est arrivé en remerciant tous les bénévoles et l’OPAR. Il a précisé que « c’est une première, un commencement de convivialité, pour le plaisir de chanter ».

Alors, place au chant avec de nombreux spectateurs car la halle était comble pour ce moment de plaisir et de partage. Les rythmes étaient apaisants et la salle paraissait se plaire !

Un retour nostalgique avec «  l’homme blanc dans l’église noire » faisait référence à Harlem puis le bouquet final avec les 400 choristes était magique.

Rennes Métropole, le CMB et la participation généreuse des auditeurs ont permis de financer ce spectacle musical de qualité.

Thierry, spectateur a affirmé  « bel ensemble vocal, bonne initiative d’unir les chorales de la Métropole pour un événement à renouveler ».

NB : retrouver les chorales présentes sur le dépliant de la journée.

Julie Renauld

 

 

 

 

 

 

 

 

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 22:34

Débat avec Sylvie Robert, élue à la jeunesse et vice-présidente du Conseil Régional, lors d’Expression d’Avril, le 20 Avril dernier.

 

La pépinière d’associations était représentée par de jeunes adultes et chacun s’est exprimé lors de ce débat en plein air.

Sylvie Robert a précisé que la Région Bretagne s’occupe largement des «  jeunes de 12 à 25 ans ». C’est le terme pour décrire cette part de la population et on peut dire  « jeunes de 12 à 29 ans » car il y a une complexité de l’âge.

Certaines personnes ont pris le micro et ont dit que la difficulté des jeunes est l’accès à l’autonomie. « Une petite partie des étudiants à une petite autonomie » a précisé un étudiant.

Il y a des secteurs bouchés car les offres d’emploi sont en inadéquation avec des masters dévalorisés à niveau licence. Une personne de 33 ans a ajouté qu’elle était encore en précarité.

 « Le gouvernement prévoit un vrai cadre d’orientation  car c’est un réel problème dans notre société» a dit cette représentante autour du coin café de l’esplanade Charles de Gaulle aménagé ce jour là.

Mais la valeur travail est à revoir disent certains car le bien-être doit être aussi mis en avant.

Gwen Hamdi, directeur du CRIJ Bretagne a précisé que ZAP RENNES et les bourses du FRIJ étaient nés en 1989 à la suite d’une rencontre des élus avec des jeunes ! Il a proposé que l’engagement des jeunes dans la cité puisse dans l’absolu être récompensé par une bourse.

 

Julie R.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 17:03

 

Quand on n’est pas rennais, arriver à Rennes, c’est plein de nouvelles libertés qu’on ne possède pas dans les petites villes. Alors quand on n’est pas carré, on s’éparpille vite dans toutes les choses qu’on pourrait faire comme c’est mon cas. Personnellement, j’aime bien Rennes car il y a un grand mélange de cultures, de genres, de personnes et j’adore la différence. Etant bretonnant j’aime aussi les différentes choses qu’on peut trouver ou faire en Breton, comme les associations ou les personnes qui le parlent.

Bref, Rennes est une bonne ville pour les jeunes car elle permet de s’amuser de différentes manières, que ce soit l’art, la fête, les concerts ou bien d’autres choses encore, tout en allant étudier évidemment.

 

Morgan, 19 ans.

 

 

20 ans, étant étudiante à Villejean à la découverte du monde, à la recherche de l’avenir, l’on s’égare entre la place Ste Anne et la rue St Michel, la fameuse rue de la soif où l’on rencontre toutes sortes de personnages, d’autres étudiants, des gens de la rue, des intellectuels, artistes et poètes. Tout ce petit monde se rencontre cohabite en bonne intelligence. C’est ça Rennes, tout un monde en une ville.

 

Amandine, 23 ans.

 

Pour moi, 20 ans c’est les années fac, les exams et sorties puis ZAP RENNES pour se faire une expérience associative. Rennes, c’est une belle ville avec des assos et lieux d’expos. Il y a aussi le TNB et les cinémas. Envie d’écrire, de peindre, de voir du monde ou des spectacles, c’est possible. Il y a des festivals régulièrement et on repère vite les lieux où se promener.

 

Julie, 26 ans.

 

20 ans, c’est la cité U, les cours et les galères d’argent mais aussi les grèves à Rennes 2 alors on fait la fête dans ces moments là !

 

Cécile, 26 ans.

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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 15:28

Les ateliers du vent sortent 3 cd

Les ateliers du vent, créés en 1996 sont installés à Rennes. Il s’agit d’une association d’environ 50 artistes qui invente un lieu de création pluridisciplinaire et cherche à promouvoir la culture en organisant une dizaine d’événements dans l’année. Cette année, le collectif sort ses trois premiers disques diffusés dans des lieux alternatifs tels que : Rennes Musique, les librairies Planète Io, Lendroit et Alphagraph, les trois bars suivant : le Henry cording bistrot, l’artiste assoiffé et le Sablier ainsi que la Fnac.

L’été dernier, eut lieu La Vilaine Guinguette, un bal populaire moderne regroupant des activités variées. Le cd (13€50) regroupe en live les chansons de Boule, un chanteur qui« glande »dans le style de Sinsémilia, celles de Sainte Jasmine dont la voix est proche de Brigitte Fontaine ou encore Laëticia Shériff, une chanteuse singulière dans la lignée de Beth Gibbons, la chanteuse de Portishead.

Le cd La cuisine des Ateliers (12€) comprend des morceaux des membres du collectif. S’y trouvent Les Clams, un groupe de rock français sympa, Morvandiau, qui a des propos pertinents sur la société avec « c’est ça le blues » dans le genre musical de Merzhin.

Black Betty (13€50)est le cd live d’improvisation de la Vilaine Guinguette où Fantazio et Stephen Harrisson, contrebassistes, se sont amusés, et ont, créé des vibrations assez atypiques. Elles ne rentrent pas dans un cadre musical précis mais en débordent pour donner une recette qui régalera vos oreilles !

Les ateliers du vent

23 bd Villebois Mareuil

35000 RENNES

0299277556

email : contact@lesateliersduvent.org

site : www.lesateliersduvent.org

Cet article est paru dans Zap Rennes n° 72 en Mai 2004

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30 octobre 2010 6 30 /10 /octobre /2010 17:02

On doit se livrer chaque jour à une méditation sur une mort inévitable et chaque jour, on doit se considérer comme mort.

 

C’est un beau point de vue de voir quelque chose comme un rêve.

 

Les sujets de grande importance doivent être traités avec légèreté et les sujets de moindre importance avec gravité.

 

Selon les paroles des anciens, on doit prendre ses décisions en l’espace de 7 respirations, c’est une question de détermination et de courage.

 

La voie du Samouraï est celle de l’immédiateté et le mieux est de foncer tête baissée.

 

Nos corps reçoivent la vie du cœur du néant. Exister là où il n’y a rien, c’est le sens de la phrase la forme c’est le vide. Que le néant pourvoit à toute chose, c’est le sens de la phrase le vide c’est la forme. On ne devrait pas penser que c’est là deux choses différentes.

 

Il n’existe sûrement rien d’autre que l’unique raison d’être du moment présent. Toute la vie d’un homme est une succession de moments. Si on comprend le moment présent, il n’y aura rien d’autre à faire et rien d’autre à poursuivre.

 

Il y a quelque chose à apprendre d’une grosse averse…on se fera mouiller de toute façon. Si on est résolu depuis le départ, on n’aura aucune hésitation. Cette compréhension s’étend à toute chose.

 

Il est dit que ce que l’on appelle l’esprit d’une époque est une chose à laquelle on ne peut pas revenir. Si cet esprit se dissipe progressivement, c’est que le monde approche de sa fin et si on souhaite changer le monde d’aujourd’hui et revenir à l’esprit d’il y a 100 ans, cela ne se peut. Aussi, il faut tirer le parti de chaque génération.

 

La fin est importante en toute chose.

 

 

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30 juillet 2010 5 30 /07 /juillet /2010 17:01

Le docteur Pierre Guillet, dans une intervention faite le 20 octobre 2009 à Melun pour le Coderpa de Seine-et-Marne, à partir de son livre Le dialogue des âges, a notamment expliqué le passage d’un âge à un autre en retenant sept tranches successives tenant compte de l’augmentation de l’espérance de vie. Pour sa part, le Coderpag 35 a retenu dans cet exposé les explications qui conduisent l’auteur à découper l’âge de la retraite en trois tranches successives.

 

Le cinquième âge est vu comme « un âge à construire grâce à la longévité » qui suit l’âge de l’activité. Dans notre société, ce serait l’âge de la mise à la retraite. Et, avec l’augmentation de la durée de vie, c’est une nouvelle vie qui commence.

 

Parfois, une activité professionnelle s’est terminée pour laisser place à une autre activité professionnelle selon les choix de l’individu. Pierre Guillet ajoute même que l’espérance de vie en bonne santé devrait permettre un nouveau profil de ce cinquième âge où il serait permis de faire, dans les emplois les plus pénibles, de nouveaux apprentissages et ainsi de travailler plus longtemps à temps complet ou à temps partiel dans d’autres emplois valorisants et mieux adaptés à la forme physique de la personne.

 

Le sixième âge ou « la découverte du grand-âge » est l’âge de reconnaissance pour « ce que l’on est et non ce que l’on fait » dit-il. Ce serait un âge qui ressemblerait à celui de l’enfance, où l’on redevient simplement un être humain ».

 

C’est à cet âge qu’il est possible de trouver un sens profond à la vie, témoigner de l’histoire et être un lien vivant entre le passé et le présent. La vieillesse est la compagne de l’enfance et les liens de tendresse qui se créent entre le petit-enfant et ses grands-parents sont un facteur très important de leur épanouissement réciproque.

 

Le septième âge est celui de « la fin de la vie » et l’âge du « mourir » qui peut durer juste une fraction de seconde (lors d’une mort pendant son sommeil par exemple) ou se prolonger en cas de maladie grave. Penser à sa mort, c’est aussi mettre de l’ordre dans ses affaires, faire son testament et envisager avec sa famille ce qui se passera « après ».

 

 

Cet article est paru dans l’Info des retraités et des personnes âgées. Il s’agit de la lettre du Coderpag 35 (Comité Départemental des Retraités et de l’Action Gérontologique) Impression au Conseil Général d’Ille-et-Vilaine.

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31 juillet 2005 7 31 /07 /juillet /2005 16:52

En effet, le gouvernement veut fixer la durée de cotisations à 40 ans pour tous en 2008 et à 42 ans en 2020

Le projet de réforme des retraites, associé à François Fillon, ministre de l’emploi et de la solidarité, et à Jean-Pierre Raffarin, premier ministre, se heurte à la « France d’en bas ».

 

Les actifs du secteur privé ont déjà fait des concessions en passant de 37,5 annuités à 40 en 1993, mais le secteur public réagit mal quand on touche à ses intérêts : les fonctionnaires se mettent en grève.

Ce qui se passe met en relief le décalage entre ces 2 secteurs ; les employés de l’état, qui ne cotisent encore que 37,5 annuités vont devoir s’aligner sur le secteur privé. Il est temps que tous aient une même durée de cotisations à payer pour bénéficier d’une retraite à taux plein. De plus, les cotisations des salariés du privé permettent de financer les retraites du public mais pas l’inverse. La mondialisation a lancé certaines entreprises sur le marché de la bourse, où elles ont pu s’agrandir en rachetant des sociétés, ou en devenant actionnaires de certaines. Mais, parallèlement à cela, les patrons se sont enrichis, et pour tirer profit de leurs bénéfices, ont licencié massivement. Alors que les jeunes voient se profiler le problème des retraites de leurs parents, la France compte 3 millions d’actifs inoccupés et 2 millions de personnes non déclarées chômeuses (Rmistes, stagiaires..)

Ceci paraît paradoxal : le gouvernement ne  demande t’il pas à ce que l’on travaille plus mais que fait-il pour maintenir les emplois ? Il semble que l’avenir des jeunes soit dans l’armée ou la fonction publique à cause des départs en retraites ! Mais, notre pays s’enlise…

Des jeunes continuent leurs études mais n’ont pas d’emploi à la sortie. La recherche d’emploi devient difficile , l’ANPE est dépassée par la perpétuelle mutation des secteurs d’activités et la situation économique instable, amenant des entreprises à proposer des emplois sur Internet. Plus étonnant chez nos voisins britanniques, une entreprise a licencié ses salariés par sms. (Espérons que ce phénomène ne traverse pas la Manche !). Les français ne peuvent communiquer avec le gouvernement que par la grève et à l’aide des médias. La CFDT, représentée par François Chérèque, a qualifié le projet de « compromis acceptable ». La CGT, quant à elle, ne baisse pas les bras dans le but de négocier la réforme. Le secrétaire général, Bernard Thibaut, a continuellement  fait appel à la grève, depuis le mois de Mai, et les grévistes sont allés jusqu’à incendier les bureaux du MEDEF, le vendredi 6 Juin. La CGT souhaite que tous puissent partir dès qu’ils auront 60 ans, voire 55 ans comme les cheminots (dont la fédération CGT, conduite par Didier Le Reste, est très importante). Mais, les mécontents sont également représentés par d’autres syndicats, tels que FO, la CFTC, Unsa, Sud et les militants CFDT, hostiles à la ligne de leur confédération. Selon le COR, Conseil d’Orientation des Retraites, les cotisations patronales doivent augmenter progressivement pour résoudre une partie du problème du baby-boom des années 60. Les retraites du privé sont uniquement gérées par les syndicats et le patronat, et, c’est la première fois qu’une négociation entre le gouvernement et les syndicats fait l’objet d’une loi. Le risque est celui d’un système de privatisation des retraites…et du système de protection sociale attendu pour Septembre, même si le ministre de la santé, monsieur Mattei, ne souhaite pas ceci ! Après le 10 Juin, la réforme des retraites ne pourrait plus faire l’objet de négociations. Le peuple ne mériterait-il pas un référendum pour statuer du sort de l’état providence caractéristique du pays des droits de l’homme ?  

 

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